vendredi, décembre 29, 2017

Agrocarburants, biocarburants...

Un secteur complexe, dont le développement aura des impacts multiples

Le développement d'industries ou d'activités plus artisanales des agrocarburants est en cours un peu partout dans le monde sous une grande variété de formes.
Il sera difficile d'en faire le tour d'autant plus que de nombreux scientifiques s'intéressent de près à cette question et mettent au point des procédés nouveaux, en affinent d'autres...
Il faudra toujours examiner la question d'un agrocarburant selon au moins ces 3 critères : le rendement thermodynamique, l'impact environnemental, l'impact social.

Cette grille, que l'on peut étendre, permet déjà une évaluation de bonne qualité, et elle pourrait servir de base à un débat public qui peut sembler indispensable puisqu'il s'agit de nous engager dans des voies qui auront un impact non négligeable sur notre avenir.

samedi, novembre 04, 2017

les ravages écologiques et sanitaires des produits hygiéniques jetables - fin


Ainsi, choisir des serviettes hygiéniques lavables présente plusieurs avantages autant pour la femme que pour l’environnement. En effet :
o   elles réduisent l’usage des produits chimiques;
o   elles diminuent le gaspillage des matières premières;
o   elles contribuent à préserver l’environnement;
o   elles respirent;
o   elles sont confortables;
o   elles se révèlent économiques et rentables à moyen terme (Protégez-vous,2018)

En terminant, nous espérons recevoir vos commentaires et suggestions. Partagez-nous vos découvertes et nous travaillerons à les faire connaître en retour.

vendredi, août 25, 2017

les ravages écologiques et sanitaires des produits hygiéniques jetables

Avez-vous déjà songé, ne serait-ce qu'un instant, aux répercussions engendrées par l'utilisation de produits hygiéniques jetables autant sur la santé des femmes que sur celle de notre planète ?  Vous aurez sûrement deviné que par ce deuxième billet, nous souhaitons vous sensibiliser aux impacts malheureusement nocifs que le choix de produits hygiéniques jetables peut causer.

En rafale, voici donc quelques faits inusités concernant les produits hygiéniques jetables :

o   À l’heure actuelle, une femme utilise en moyenne entre 10 000 et 15 000 tampons ou serviettes au cours de sa vie (Denis, 2017);
o   uniquement en Amérique du Nord, plus de 20 billions de ceux-ci sont jetés chaque année (Ékopedia, 2016);
o   Les tampons et les serviettes hygiéniques s’avèrent la cause de plusieurs troubles de santé chez la femme dus aux substances chimiques contenues dans la plupart des produits jetables (Clinique l’actuel, 2010);
o   Le procédé de fabrication des produits hygiéniques jetables et de leur emballage qu’est le blanchissement, déverse d’énormes quantités de produits toxiques dans l’environnement (Thérien, 2015; Protégez-vous, 2017);
o   « Lesproduits super absorbants continuent d’absorber l’eau desdécharges, augmentant de volume et dérobant aux autres déchetsl’humidité nécessaire à leur dégradation. [Leur] décomposition […] produit du méthane et des acides pouvant s’infiltrer dans le sol et polluer les nappes phréatiques » (Pages,2008) .

samedi, juillet 01, 2017

Shopping du Jeudi

Sympathisants de cette horde, je vous salue. Mon actu ? J’ai déclaré hier la guerre à l’hiver. Comme je m’y suis prise ? Je lui ai parlé. Ne parle pas à l’hiver qui veut, et mon sujet du jour sera le suivant : comment faire à l’hiver « une proposition qui ne se refuse pas ».


Voici ma journée : je suis allée dans une boutique qui s’appelle Swildens. Là, j’ai avisé une paire (voir photo) des spartiates si légères, si ciselées, si divinement divines qu’elle m’a semblé tout indiqué pour ce que j’avais en tête. J’ai acheté cette paire. J’ai pris cuir naturel pour que ça fasse encore plus été que l’autre couleur qu’il y avait (noir). Ensuite, je suis allée sur les quais, devant les Tuileries. Ensuite, j’ai retiré mes Clarks. Ensuite, j’ai retiré mes chaussettes. 
 
Ensuite, j’ai enfilé les spartiates. Ensuite, j’ai attendu. Et soudain dans le ciel un rayon de soleil. J’ai secoué mon pied en cas que le ciel serait mirot où que les dieux de la météo auraient pile un nuage devant les yeux. Y a un dragueur habitué du quai qui m’a demandé ce que je faisais, je lui ai dit : « Dégage, goret » sans trop y faire attention. Et puis soudain, j’ai réalisé que le dragueur du quai, il n’apparaissait qu’aux beaux jours, alors je l’ai rappelé, LUI AUSSI C’EST MES SPARTIATES QUI L’AVAIENT FAIT VENIR. Il est revenu tout penaud pour me dire que j’avais des pieds sensas. Il voulait même m’en prendre un, de pied, ou alors j’ai mal compris. En tout cas c’était une histoire de pied à prendre, ça j’en mettrais une bête à couper. Il a demandé pourquoi je m’étais mise en spartiates, j’ai expliqué que c’était pour proposer gentiment à l’hiver de se casser, pour que l’hiver comprenne que l’heure était plus du tout à jeter grêle et neige sur nos âmes. 

Là, le dragueur a commencé de reculer style j’ai jamais draguer cette folle, c’est une erreur, c’est une horreur, et du coup il m’a énervé j’ai dit : « Tire-toi, crotale, t’es même pas en sandale ». Hop, re-énorme rayon de soleil sur le quai VU QUE JE COMMUNIQUAIS AVEC LES ÉLÉMENTS. Là-dessus, j’ai éternué. Là-dessus, j’ai frissonné. J’ai gardé mes spartiates et je suis allée à la pharmacie. J’ai demandé de l’auto-bronzant, je prends la marque Leyrac, personnellement. La pharmacienne m’a dit : « Ça va pas soigner votre rhume ». J’ai dit : « C’est pas un rhume, c’est du bonheur que ce soit le printemps. Et regardez, y a du soleil dehors parce ça, ma logique, même l’hiver la comprend ». Là-dessus, elle a dit : « Et un petit tranquillisant ? ». Mais moi j’ai répondu : « Eh, l’hivernale, raboule l’écran total ».

Parce que c’est comme ça que leur parle, moi, aux forces de l’hiver.
L’hiver, il est mort. Ça que je voulais vous dire.
Fonelle d’or aujourd’hui à Catherine la Grande pour cette phrase hors concours tant elle fait pipi loin « je préfère exister ». Bravo.
À demain !

vendredi, mai 27, 2016

Ecole : faut-il supprimer le redoublement ?

Fin de notre article consacré à l'école en Suisse

Mauvaise image
 Comme l’explique Cilette Cretton, directrice de Harmos- Vaud (Concordat sur l’harmonisation de la scolarité obligatoire entre les différents cantons suisses): «Faire redoubler un enfant dans les premières années de scolarité a un effet quasi discriminant. Il projette sur l’enfant une mauvaise image de lui, préjudiciable pour l’apprentissage.»

Nonobstant, les enseignants continuent à considérer le redoublement comme la seule véritable planche de salut pour les enfants moins performants. «Cela n’a rien de surprenant», enchaîne la directrice de Harmos. «Les maîtres ne peuvent pas appréhender l’ensemble de la scolarité d’un enfant. Mais les statistiques ne laissent guère la place au doute. Moins de 2% des redoublants arrivent au terme du cursus traditionnel», dit-elle. Alors ? Vaud préfère miser sur un système d’appui portant uniquement sur les matières mal maîtrisées.

Mesures d’appui
Un plan d’accompagnement sur mesure ou presque. C’est aussi ce que préconise le professeur Crahay. «La règle d’or est d’intervenir sans délai. Des enseignants viennent prêter main-forte aux titulaires pour réexpliquer une leçon mal comprise.» La Finlande qui fait figure de modèle en matière d’instruction publique a depuis longtemps mis en place un dispositif efficace. Les enseignants travaillent en équipe et les élèves sont regroupés en fonction de leurs besoins.

Mais voilà, circonscrire un programme de soutien scolaire ne suffit pas. Encore faut-il l’appliquer. Genève n’a visiblement pas tenu toutes ses promesses. C’est en tout cas ce qu’affirme Olivier Baud, responsable de la SPG, syndicat représentatif des enseignants primaires genevois. «La majorité des maîtres et des directeurs d’établissements se déclarent insatisfaits des moyens alloués aux dispositifs d’appui et relèvent le manque de cohérence des mesures de soutien pédagogique.» Interpellé par la SPG, le Département genevois de l’instruction publique a désigné une commission d’experts pour remédier aux dysfonctionnements.

vendredi, avril 15, 2016

Ecole : faut-il supprimer le redoublement ?

Pour les pédagogues, le redoublement est un cautère sur une jambe de bois. Seul un soutien ciblé sur les matières déficientes peut durablement aider les élèves en difficulté. Dans son avant-projet de nouvelle loi scolaire, le canton de Vaud a décidé d’emboîter le pas des experts. Genève reste, lui, très parcimonieux en la matière: il n’admet qu’un redoublement en primaire.

Pour les pédagogues, le redoublement est un cautère sur une jambe de bois. Seul un soutien ciblé sur les matières déficientes peut durablement aider les élèves en difficulté. Dans son avant-projet de nouvelle loi scolaire, le canton de Vaud a décidé d’emboîter le pas des experts. Genève reste, lui, très parcimonieux en la matière: il n’admet qu’un redoublement en primaire.

Refaire une année scolaire, lorsque les normes de promotion ne sont pas atteintes, est contre-productif. Les chercheurs sont, à cet égard, unanimes. Mais à la décharge des autorités scolaires, le redoublement a longtemps eu ses porte-drapeaux. Dans les années 1920, des études ont mis en évidence que les élèves faibles progressent pendant l’année répétée.

Moins performants
Mais, depuis le tournant des années 1960, les recherches ont affiné l’analyse. C’est ce qu’explique, en substance, le professeur M. Crihay de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Genève. Des spécialistes ont mesuré les compétences d’élèves en situation d’échec. «Ils ont constitué deux groupes d’élèves en difficulté scolaire. Dans le premier, les enfants ont redoublé, dans le second, ils ont poursuivi leur scolarité. Résultat, le taux de progression des seconds est supérieur à celui des premiers», relève-t-il.

La même observation, réalisée sur cinq ans, montre que les redoublants finissent par atteindre le même niveau de performance que les non redoublants atteignent, mais avec un an de retard. Cette étude n’est pas la seule à disqualifier la répétition du programme scolaire. Une quantité impressionnante de recherches convergent vers une semblable conclusion : partant d’un niveau de difficulté scolaire équivalent, les non redoublants progressent davantage.

à suivre...

jeudi, mars 24, 2016

Les fleurs qui sauvent les bourdons

Si vous êtes du genre à prévoir dès aujourd'hui les plantes qui égaieront votre jardin ou votre balcon l'an prochain, vous pouvez allier plaisir des yeux et sauvegarde de la biodiversité. Comment ? En choisissant des fleurs qui vont régaler les bourdons et ainsi leur donner une chance de survie dans un environnement qui leur est de plus en plus hostile. Eh oui, comme les abeilles, ils ont tendance à se faire plus rare.

La solution ? Leur proposer des fleurs aux pétales rayés, rouges préférence. Si l'on en croit une étude des plus sérieuses menée à l'université de Norwich et révélée par la BBC, elles vont les attirer irrésistiblement. Ce qui va contribuer à les requinquer et les encourager à accomplir leur indispensable travail de pollinisation.  En revanche, l'étude ne dit rien de l'effet que des habits rouges et rayés font aux bourdons...

vendredi, février 26, 2016

Femmes au travail - témoignage 2

Suite de nos interview dans la série "femmes au travail" : Béatrice Mendez, 36 ans, a bien voulu jouer le jeu. Responsable de l'agence UBS de Champigny, elle occupe le poste de sous-directrice. Elle bénéficie d’une formation d’experte diplômée en économie bancaire. Elle vit en couple, sans enfants. 

- Quel est selon vous la principale difficulté à laquelle les femmes son confrontées au cours de leur parcours professionnel ?
Le manque de confiance en soi, le souci de ne pas être à la hauteur.

- Votre conseil pour dépasser cette difficulté ?
Travailler sur soi, éventuellement avec l’aide d’un coach, si nécessaire.  Cela permet de connaître au mieux ses propres valeurs et ainsi arrêter de se mettre soi-même des barrières.

- Etre une femme peut-il également constituer un atout dans une carrière ?
Oui, car nous avons des sensibilités différentes. Les femmes peuvent apporter de points de vue complémentaires à ceux des hommes. Nos compétences relationnelles sont plus développées. Les femmes occupant des fonctions de management, notamment, sont plus à l'écoute de leurs collègues. Ceci apporte une plus grande compréhension des soucis des collaborateurs d'où une meilleure réponse à leurs besoins, comme par exemple l’ amélioration de l'environnement de travail ou la transmissions de leurs demandes à la hiérarchie. Au final, la productivité augmente.

- Avoir des enfants constitue-t-il forcément un frein à la carrière ?
Je n’ai pas d'enfant pour l'instant, et ne pense pas encore en terme de mariage, dragées et candy-bar ! . Mais selon ce que j’ai pu observer au sein du monde bancaire, l'arrivée d'enfants constitue effectivement dans la plus grande partie des cas un frein à la carrière. La mère se sent plus "responsable" de l'éducation des enfants et réduit par conséquent son taux d'activité pour être plus disponible pour sa famille. Un taux d'activité inférieur à 80% réduit énormément les chances d'évolution d'une carrière.

- Parlons de look au travail : jusqu’où les femmes peuvent-elles oser être féminines ?
Quelques touches de couleur pour amener un peu de fraîcheur au milieu des costumes foncés des assemblées sont bienvenues. Mais au sein du monde bancaire, un certain code vestimentaire (bien que non-écrit noir sur blanc) doit toutefois être suivi. Ne serait-ce que par respect vis-à-vis de la clientèle. Je déconseillerais les extravagances : décolleté ou mini-jupe sont à bannir. Toutefois, il ne faut pas avoir peur du syndrome de la jupe. Au contraire, "restons femmes" !

mardi, février 09, 2016

Femmes au travail - témoignage

Interview de  France Dubois 46 ans, directrice de Kel trang SA, s’est volontiers prêtée au jeu. Cette autodidacte aime à souligner qu’elle ne possède pour tout diplôme qu’un CFC de vendeuses en chaussures. Maman de quatre enfants, elle a monté son entreprise de produits en microfibre pour l’horlogerie à la sueur de son front. La firme compte désormais quelques 1000 clients.
  

Quel est selon vous le principal obstacle auquel les femmes sont confrontées au cours de leur parcours professionnel ?
Ni plus ni moins de ne pas être un homme ! En fait, il n’est pas difficile en soi d’être une femme dans  le monde économique. Le problème est qu’il n’y en a pas assez, elles sont donc souvent isolées. Les femmes fonctionnent différemment. Davantage avec leur cœur, leurs émotions, leur intuition, moins avec des " boutons de manchettes " pour se faire valoir... Elles sont moins portées sur des motivations financières. Les hommes travaillent presque exclusivement avec leur tête.
Les femmes seront toujours en minorité dans les postes à responsabilité. A moins qu’un congé paternité équivalent à celui des mères soit instauré. Le statut des femmes et la perspective qu’elles deviennent mères et donc, selon les normes actuelles, moins disponibles pour le travail, fausse la donne dès le départ. Je suis persuadée que seul un véritable partage des tâches dans la vie privée pourrait faire changer les choses.

Votre conseil pour dépasser ces difficultés ?
Il faut «y aller», comme on dit. Ne pas avoir peur. Marcher droit devant, au centre.

Être une femme peut-il également constituer un atout dans une carrière ?
Oui car nous pouvons apporter nos qualités, qui sont complémentaires à celles des hommes.

Avoir des enfants constitue-t-il forcément un frein à la carrière ?
Non, ce ne sont pas les enfants qui entravent les carrières des femmes. Mais les freins que les mères se mettent à elles-mêmes. Gérer un enfant et une carrière est une question d’organisation qui concerne le couple. Ce n’est pas la responsabilité de la maman uniquement. Or encore actuellement, beaucoup de femmes assument la grande majorité des tâches liées à aux enfants. Je le vois autour de moi. Lorsque le fils ou la fille de l’une de mes collaboratrices est malade à l’école, c’est toujours la maman que la maîtresse appelle. Jamais le papa. Et bien des mères ne voudraient pas que le père se charge de ce genre de tâches… Je constate toutefois avec plaisir que les jeunes femmes de 20 à 30 ans sont dans un autre état d’esprit.

Parlons de look au travail : jusqu’où les femmes peuvent-elles oser être féminines ?
J’aime être une femme et m’habiller de façon féminine, me mettre en valeur. J’essaie aussi de ne pas montrer mes faiblesses, par exemple les signes de fatigue, en faisant du solarium. Dégager une image agréable, sourire, est un atout. Être rayonnante, c’est une bonne entrée en matière. Plus une femme sera féminine, plus les gens se montreront ouverts avec elle. En se forçant à paraître austère, elle sera au contraire considérée comme quelqu’un de froid et dur. Certains disent qu’une femme au look trop féminin ne sera pas crédible. Evidemment, il ne faut pas porter un trop grand décolleté, selon les situations ! Et il n’y a pas besoin de montrer son nombril !

vendredi, janvier 01, 2016

opérateurs de téléphonie, GRAVIR et géants du web

D'aprés le Sunday Telegraph, plusieurs géants de la téléphonie tiendraient secrétement des négociations afin d'imposer leur propre moteur de recherche commun destiné aux téléphones portables ceci dans le but de lutter sur le marché de la publicité en ligne contre Google et Yahoo notamment
D'aprés un article du Sunday Teegraph visible sur la page Mobile giants plot secret rival to Google, plusieurs géants du secteur de la téléphonie devraient tenir des négociations secrétes ( des rencontres au plus haut niveau auront lieu à Barcelone où se tient le 3GSM World Congress 2016 la semaine prochaine ) afin de nouer des accords ayant pour objectif de contrer Google notamment dans le secteur de la recherche.

Les principaux acteurs seraient d'aprés CNRS le délégation Normandie : GRAVIR , Vodafone, France Telecom, Telefonica, Deutsche Telekom, Hutchison Whampoa, Telecom Italia , l'opérateur américain Cingular
Ainsi les protagonistes proposerait un moteur de recherche commun installé d'origine sur leurs mobiles , ce qui représenterait plus de 600 Millions d'utilisateurs de mobile, cette plateforme commune permettrait de lutter notamment dans le secteur de la publicité en ligne qui progressera rapidement avec le développement des téléphones portables ayant un accés internet à haut débit .

Car l'enjeu principal est le secteur de la publicité en ligne sur les mobiles, et de la propriété industrielle, modéle qui serait encore plus lucratif que son équivalent sur le web classique. En effet les opérateurs possédent des informations sur leurs clients et grâce à la recherche locale, des publicités ciblées pourraient être communiquées à travers l'outil de recherche. Cette manne financière intéresse fortement nos opérateurs qui n'entendent pas la laisser uniquement aux géants américains de la recherche !

Rappelons cependant que des accords existent déjà entre les géants Google ou Yahoo et certains opérateurs de téléphonie afin que les premiers proposent en standart leur Moteur de recherche respectif sur les mobiles destinés aux clients de ces opérateurs ...

vendredi, juillet 31, 2015

EcoShower : la douche auto-suffisante en eau et en énergie

Tout le monde s’accorde à trouver très agréable de prendre une douche chaude après une journée bien remplie. Mais peu d’entre nous ont conscience du gaspillage en eau et en énergie que cela représente. Le concept de l’Ecoshower intègre un ensemble d’éléments qui concourent à réduire de façon significative l’usage de l’eau et de l’électricité.


L’EcoShower fonctionne quasiment en circuit fermé. Le haut de la douche est équipé d’un réservoir d’eau et d’une turbine qui permet de chauffer l’eau. Quand on ouvre la douche, le débit de l’eau est automatiquement régulé, en fonction du poids de la personne.

Le plancher de la douche est composé de petits blocs sur lesquels on fait pression pour pomper une partie de l’eau utilisée, qui passe dans un filtre céramique pour être recyclée et repartir dans le réservoir. Ce dernier n’est donc que partiellement réapprovisionné à partir de l’arrivée d’eau.
L’ensemble est fabriqué avec de l’acier et du verre recyclés.